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La recette du succès selon Christophe Duhamel, co-fondateur de Marmiton

#Évènement #Bonnes Pratiques

20 ans après le début de l’aventure Marmiton, Christophe Duhamel, le co-fondateur de ce site culinaire emblématique et qui occupe encore la tête de classement des sites les plus visités en France, s’est rendu à Smart Food Paris pour un retour d’expérience en toute convivialité.

Voici les 5 conseils à retenir quand vous vous lancez dans l’aventure entrepreneuriale :

1. Restez à l’écoute des gens.

« Les études de marché sont la clé de la réussite. Elles représentent une source inestimable d’informations, surtout les études qualitatives les idées auprès de clients potentiels »

2. Testez les idées auprès de clients potentiels.

«Chez Marmiton nous avons testé beaucoup de choses. Nous avons connu beaucoup d’échecs mais aussi énormément de beaux succès en allant à la rencontre des utilisateurs pour tester avec eux nos idées »

3. Tout centrer sur l’expérience client

« Il faut penser à l’expérience que va vivre le client en utilisant votre produit ou service. Il faut d’abord étudier le marché et comprendre les attentes du consommateur avant de concevoir un produit ou service »

4. Tout vient à point à qui sait attendre

« Toujours être patient. A titre d’exemple, cela nous a pris une dizaine d’années entre le moment où nous avons pensé à faire du papier et celui où nous avons sorti le premier magazine papier »

5. Travaillez son identité de marque

« Il faut que les valeurs soient cohérentes entre elles. Nos valeurs chez Marmiton sont le plaisir, la générosité, l’accessibilité, la convivialité. »

Vous savez tout, maintenant à vous de jouer!

 

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L’innovation en réponse à la dénutrition de nos ainés

Malheureusement, la dénutrition des personnes âgées est plus que jamais un enjeu de santé publique qui doit être assumé. Plus de 50% des séniors vivant à domicile et étant en situation de dépendance culinaire (lorsque la personne délègue tout ou une partie de ses courses et/ou la préparation des repas) seraient en état de dénutrition. Ce chiffre varie même entre 50 et 70% pour les personnes en EPHAD ou hospitalisées.